ah le samedi soir...du temps de mon adolescence c'était des heures accoudé au rade,ou le cul sur la chaise à siroter des bibines jusqu'à saturation...et puis venait ensuite le bon vieux baloche,avec ses instants musette et tango,on en profitait pour voir si des fois la bière était fraîche,et comme le gosier était souvent aride,on rinçait abondamment la glotte,histoire d'éviter la déshydratation...Le retour devenait pour le moins chaotique,faut dire qu'on bouffait allègrement du serpent,et les lignes droites devenaient par la force des choses des courbes pas vraiment gracieuses...
Le temps a passé,exit les bals,fini les boîtes ou la chaleur n'avait rien a envier au bruit,c'est maintenant beaucoup plus calme,avec le temps on aspire à plus de quiétude...Et je me vois mal retourner faire le kéké dans les raves,avec tout ces glands qui sautillent frénétiquement,des heures durant,dopés à l'ecstazy,la bite en berne et le cerveau scotché,remarque si j'avais 20 balais aujourd'hui c'est sans doute ce que je ferais...Sauf que j'éviterais d'avoir la bibite en berne,ça peut servir!Pour clore le chapitre souvenirs,je me souviens d'une biture magistrale qui m'avait fourré sous la " roulotte" d'un forain,avec pour compagnie un chien féroce dont la chaîne heureusement assez courte le retenait à 2 cm de moi...Enfin,c'est ce que m'a raconté mon frère,je n'ai aucun souvenir de cette odyssée...
J'ai déniché un tite vidéo en allemand,mais pas besoin de traduction,elle est assez claire...
voilà un croquis qui aurait dû devenir une peinture.Qui sait?
Allez,je retourne sur ma peinture,elle m'a envoûté!
Et...à demain,si le jour vient?
je me souviens de t'avoir croisé (d'un peu près parfois au moment du slow!) dans ces bals ou tu n'étais pas toujours très frais, mais comme dirait les vieux, c'était le bon temps... forcément nous étions jeunes et beaux. bises
RépondreSupprimerAh tendre inconnue,mes souvenirs sont à ce point si imparfaits que j'ai opté pour le black-out total,de cette manière,point de surprises...
RépondreSupprimerPour ma défense,comme tu dis,nous étions jeunes et beaux(je n'avais pas grande estime pour mon physique) et j'avais un handicap mortel: une timidité excessive,frisant la paralysie,ce qui me rendait parfois agressif et brutal,et le remède à cela était l'alcool,qui me desinhibait,et me rendait par la même occasion con comme un manche.AAAAHHHH si c'était çà refaire...plus d'alcool,pas de clopes,du sport,des études,mais le livre est écrit,la page où l'on meurt est déjà sous nos doigts...
a plus,je l'espère,inconnue!
une inconnue ! si connue et quelqu'un qui te suit de loin depuis toujours... j'arrête de te faire rêver, ce n'est que moi jean-yves, tu vas surement êtredécu,tant pis.
RépondreSupprimergros bisous
béatrice Cochet
aaaaaahhhhhhhh.........béatrice...ET ben non,je ne suis pas déçu.T'es déçu,hein?
RépondreSupprimerAu moins avec internet,tu peux être anonyme.Jusqu'à maintenent!Hadopi(panthère) surveille...Big brother is watching...
a + béa!